mercredi 27 novembre 2013

Visite au Bird Center


Le vendredi 15 nous avons allé visiter Bird Center.Il est un centre ou en peu observer de près les oiseaux. Quand on est arrivé une dame nous a recueilli très aimablement. Elle nous a montré une carte  migratoire en nous expliquant les lieu ou les oiseaux s’arrêtent pour se réfugier du froid ou simplement pour se reposer. Quand on a compris tout elle nous a guidée dans le dernier étager pour regarder bien les oiseaux avec des jumelles. Après nous avoir montrés quelques espèces on a descendu est on est allé voir des écran qui nous montrent beaucoup 
des espèces qui passent par là. Elle nous a expliqué comment
les reconnaître, s'ils étaient des mâles ou des
femelles...etc Nous avons apris beaucoup des espèces des oiseaux.            

 Par exemple:  
                                                                
 Zarapito real:  Le Courlis cendré  est une espèce de limicoles appartenant à la grande famille des scolopacidés. C'est celui des courlis qui habite  l'espace le plus étendu, puisqu'il se reproduit dans   toute l'Europe tempérée et l'Asie. On en a même aperçu en Nouvelle-Écosse. En Europe on le nomme souvent simplement courlis.                                                    






Cormorán Grande: 
Le Grand Cormoranest une espèce d'oiseau aquatique qui appartient à la famille desphalacrocoracidés. Son aire de distribution est très vaste (Europe, Asie, Océanie, Afrique, et une frange orientale de l'Amérique du Nord) ; on y distingue habituellement cinq à huit sous-espèces.












mercredi 13 novembre 2013

La photosynthèse


La plupart des plantes disposent de chlorophylle. La chlorophylle est un pigment vert qui se trouve à l’intérieur des plantes et qui transforme l’énergie de la lumière en énergie chimique. Grâce à cette substance les plantes sont capables de réaliser la photosynthèse :
C’est-à-dire que les plantes captent l’énergie de la lumière, absorbent le gaz carbonique de l’air, et l’eau du sol, pour produire de la matière vivante : bois, feuille, fleurs, racines.




En outre les plantes libèrent aussi de l’oxygène qui nous permet de respirer.Donc les plantes absorbent le gaz carbonique de l’air et rejettent l’oxygène, alors que nous faisons le processus inverse, puisque nous, nous absorbons l’oxygène et rejetons le gaz carbonique.(1)






Bibliographie:

Site(1): profeseur phifix

Consulte le: 13/0/13


lundi 11 novembre 2013

L'écosystème du marais d'Urdaibai


Ce marais se divise en 3 zones bien distinctes. 

La partie haute, comprise entre Gernika et Murueta / Arteaga où domine l'influence d'eau douce. Les communautés végétales les plus importantes sont les roseaux dans les zones inondées et les prés. Les rosières constituent un habitat des plus importants pour la reproduction de certaines espèces d'oiseaux qui trouvent là, nourriture et protection. Leur maintien est donc primordial.(Râle d'eau, Bruant des roseaux, Bergeronnette printanière, Rousserolle effarvatte etc... )Ces prés ont été gagnés sur d'anciennes zones humides par la construction de digues empêchant l'entrée d'eau salée. Un système d'écluse permettait d'écouler le surplus des eaux pluviales.
La partie centrale, entre Murueta / Axpe sur la rive gauche et Arteaga / Kanala sur la rive droite. Ici on note une influence marine importante et le marais prend ici toute son ampleur. Les marées conditionnent la vie dans l'estuaire en créant un milieu hostile pour la plupart des plantes. Cependant, un petit groupe a développé une adaptation au milieu qui leur permet d'affronter avec succès la salinité, l'inondation au grés des marées, la mouvance du sol et le manque d'oxygène. La distance du canal central conditionne la distribution des plantes.Sur le bord même du canal on trouve exclusivement ou presque, l'herbe marine, rare et protégée, qui en dehors des grandes marées, reste en permanence sous les eaux. Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes. Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose doncA signaler aussi la présence de quelques arbres supportant un fort degré de salinité et l'inondation temporaire: le tamaris, la saule commun et, prés de l'influence des eaux douces, l'aulne qui occupe les fondrières. A Busturria, à proximité du marais, on observe également une zone terrestre artificielle composée de dépôts de sable provenant du dragage de la Ria sur d'anciens polders. Cette zone abrite aujourd'hui, 30 ans après sa création, une flore adaptée à un substrat pauvre et sec: lagure ovale, camomille, liseron terrestre, mélilot blanc....En lisière de cette zone abondent malheureusement des plantes invasives (Pampa, Baccharia) provenant d'autres continents et qui éliminent dans bien des cas les plantes locales.
La zone inférieure, qui s'étend depuis Axpe / Kanala jusqu'à l'embouchure avec très forte influence marine. Ici dominent plages, dunes et bancs de sable.Suite à une grosse tempête, les dunes de Laida ont disparu vers 1950, et l'action du vent et de la mer ont alors empêché la récupération de la flore. Depuis 1999, le "Patronato d'Urdaibai" a lancé un projet de récupération de la plage par la restauration de la dune. Les dunes sont l'habitat du littoral le plus inhospitalier, dans lequel vivent pourtant des plantes et des animaux singuliers, la plupart d'entre-eux en danger d'extinction.Les dunes consolident et protègent la plage en évitant les pertes de sable. Leur stabilisation évite aussi le transport de sable vers l'intérieur de l'estuaire, limitant ainsi son ensablement.(1) 




Bibliographie:

Site(1): Développement durable
Consulte le: 3/11/13
Disponible sur: http://developpement-durable-capi.blogspot.com.es/2010/01/zones-humides-au-cours-des-cinquante.html


mercredi 16 octobre 2013

Courlis Cendré


 NOM :     Kurlinta handi (Basque)
                 Zarapito real (espagnol)
                 Courlis cendré (français)
                 Numenius arquata (latin)
                 Eurasian Curlew (anglais)



DESCRIPTION

C'est le plus grand limicole de son genre, avec une longueur de 50-57 centimètres et une envergure de 1 m. Il est principalement d'un marron grisâtre, avec un arrière-train blanc et un bec très long et courbé.
De la famille des bécassins (anciennement limnodromes), il se distingue par son long bec incurvé vers le bas qui lui a valu son nom scientifique Numenius (du grec néoménie : nouvelle lune) et arquata (du latin arcuata : courbé en arc). Ses longues pattes sont gris-bleu, terminées par 4 doigts, c'est un marcheur. Le plumage est moucheté et strié de gris, roux, brun, fauve et blanc. Le croupion blanc bien visible au vol. Corps plus grand etbec plus long que celui du corlieu (à tête rayée). La femelle du courlis cendré est plus grande et a un bec plus long que celui du mâle (cela n'est pas toujours évident à observer). (1) 

NIDIFICATION

Le courlis cendré niche dans les prairies herbeuses, de préférence de faible hauteur, ce qui lui permet d'avoir une parfaite couverture visuelle de son territoire. La femelle pond en avril-mai (1 ponte annuelle), 3 à 5 oeufs beiges, bruns ou olive tachetés de brun plus foncé, qu'elle couvera alternativement avec le mâle pendant 27 à 29 jours. Le nid est généralement construit dans un endroit sec à végétation basse, garni de quelques herbes sèches ou de bruyère. Les poussins nidifuges se nourrissent seuls après quelques jours seulement mais ne prendront leur envol qu'au bout de 32 à 38 jours. C'est plutôt le mâle qui les élève. Il se reproduit dans le nord de l’europe.



HABITAT, MILIEU DE VIE

Le Courlis cendré vit indifféremment sur des terrains secs ou humides, à l'intérieur des terres ou sur le littoral avec une préférence pour les tourbières et les landes ne dépassant pas 600 m d'altitude. En France, les principales populations nicheuses de courlis cendrés occupent la plaine d'Alsace, la Lorraine, le Val de Saône, la Bretagne et la Normandie.

RÉGIME(NOURRITURE)

Le courlis cendré se nourrit à découvert dans les limons et vasières. Son long bec particulièrement adapté à la capture de vers et de mollusques sonde profondément la vase. A l'extrémité, des cellules très sensibles au toucher lui permettent de localiser ses proies. Il se nourrit parfois de baies et graines et de céréales à l'occasion. Dans les secteurs prairiaux où il niche, le courlis consomme beaucoup d'insectes et de lombrics. (2)

HIVERNAGE

Sa zone d'hivernage est le sud de l'Europe.

INFORMATIONS DIVERSES

Le courlis cendré peut atteindre les 32 ans.
A Urdaibai on trouve de nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs rares dans la Péninsule Ibérique, des oiseaux limicoles qui s'alimentent d'animaux vivants enterrés dans les limons et les sables. On trouve parmi ceux-ci le Courlis cendré.(3)

BIBLIOGRAPHIE

Site 1: Wikipedia
Consulté le: 16/10/13

Site 2: oiseaux.net
Consulté le:16/10/13

Site 3: Ressources touristiques naturelles
Consulté le:  16/10/13

Spatule Blanche

Spatule blanche - Platalea leucorodia                                                    
NOM :Spatule Blanche  (français)
           Patalea Leucordia (latin)
           Eurasian Spoonbill  (Anglais)                                      Espátula común (Espagnol)
           Mokozabal zuri (Basque)
                                               
                      

HABITAT:
Elle habite les zones humides côtières, avec étendues d'eau libre peu profonde. 

ALIMENTATION:
Son bec spatulé lui permet d'attraper de petits crustacés, épinoches et gambusies.
Elle se nourrit en petits groupes dans une eau peu profonde.(1)

NIDIFICATION ET HIBERNATION (MIGRATION) :
Niche en Hollande au sud du Portugal, hiverne sur les côtes
d'Afrique du Nord.Depuis peu, une petite colonie
 s'est implantée sur le lac de Granlieu (France).
Les vols migratoires ont lieu en août-octobre et en
avril-mai. (2)




BIBLIOGRAPHIE :


Site (1) : Oiseaux
Consulté le: 16/10/2013



Site (2) :Oiseaux d’Europe
Consulté le: 16/10/2013

mercredi 2 octobre 2013

Les plantes invasives en Bizkaye

Problèmes
La caractéristique commune de ce groupe de plantes envahissantes est qu'ils provoquent des changements dans la nature des écosystèmes et constituent une menace importante pour les espèces de la province, qui peuvent se déplacer ou disparaître.L'impact de ces espèces se reflèt également dans la santé publique et l'économie.(1)



Solutions

Prendre des mesures sur les aspects législatifs, la prévention et le contrôle.
Aspects législatifs:
Réglementer l'introduction volontaire d'espèces nouvelles.

Prévention:
Minimiser le risque d'introductions accidentelles
et d'empêcher la dissémination naturelle des espèces exotiques.

Contrôle et l'éradication:
Depuis de nombreuses années, ils ont pratiqué une variété de méthodes de lutte contre les ravageurs de légumes non sélectives qui n'ont pas été prises en compte les conséquences écologiques. Pour cette raison, de nombreuses fois, il devient difficile à utiliser dans les zones de grande valeur écologique, qui retiennent l'écosystème. 

Certaines méthodes sont les suivantes:
• Le paillage. Consiste à placer un certain matériau qui empêche l'illumination de plantes envahissantes.
• Feu de forêt contrôlé. Il s'agit d'éliminer les plantes par le feu.
• Les méthodes chimiques. Station de traitement de l'herbicide à enlever.(2)



Bibliographie:
Site (1) et (2):Isb bizkaia
Consulté: 30/09/2013