lundi 30 septembre 2013

La migration des oiseaux à Urdaibai

                                                    Pourquoi les oiseaux migrent 


 La migration se produit en général à des périodes de changements de conditions climatiques, mais elle est en réalité due aux variations dans la disponibilité de la nourriture. 
Voir 
Ainsi, les oiseaux migrateurs ne partent pas pour chercher le soleil mais pour trouver une nourriture abondante.
Le retour des oiseaux migrateurs dans les régions tempérées pour y nicher et se reproduire s'explique par la présence moindre de prédateurs et une moindre concurrence lors de la collecte de la nourriture avec les autres espèces. 
(1)


Migration Urdaibai
La plupart des oiseaux qui visitent Urdaibai ont  plus au nord, dans les zones humides européennes et même dans la toundra près de la Cercle Polaire ArctiqueBeaucoup d'entre eux se dirigent vers l'Afrique pour l'hiver, mais d'autres restent dans nos zones humides pour profiter des hivers plus doux.Bien qu'un certain nombre de routes qui suivent les oiseaux dans leurs migrationsl'un des principaux longe la côte atlantique européennedans le golfe de Bizkaye. Donc, les zones humides et côtières d’ Urdaibai jouent un rôle important, servant de zone de repos et d'alimentation pour une variété d'oiseaux aquatiques lors de leurs migrations ou encore comme aires d'hivernage.(2)       












Bibliographie:
Site (1): Pourquoi
Consulté: 30/09/2013

Site (2): Ingurumena
Consulté le : 30/09/2013




mardi 24 septembre 2013

Toujours plus de déchets


L’augmentation de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées.
L’augmentation de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.

Mais qu'appelle-t-on déchet?

Tout produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour la personne qui le possède.
Le niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.
Le concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.

Et l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne cessent d'augmenter.
De tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.



Agriculture et faim monde

 Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.
L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.
Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.


jeudi 19 septembre 2013

L’agriculture en question


Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.

Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».

Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.

La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.